Anciens membres

Alejandra Almarales

Alejandra Almarales a rejoint le laboratoire ReACT par le programme de bourses d’études de premier cycle de l’Équipe violence sexuelle et santé à l’été 2019 sous la supervision de Dre Rachel Langevin. La recherche de premier cycle d’Alejandra a examiné l’affiliation et la façon dont les gens recherchent le soutien de proches dans des situations stressantes et traumatisantes.

Ruo Feng


Ruo a obtenu son baccalauréat ès arts (avec distinction) en psychologie avec une mineure en informatique à l’Université McGill. Elle a rejoint le laboratoire ReACT durant l’été 2020 dans le cadre d’une bourse de recherche de premier cycle de l’Équipe violence sexuelle et santé. Elle est passionnée par la défense de la santé mentale et par l’intersection entre la psychologie clinique, sociale et culturelle.

Naz Alpdogan

Naz a pris une année sabbatique après avoir obtenu son baccalauréat en psychologie à l’Université McGill. Elle a rejoint le laboratoire ReACT durant l’hiver 2022 jusqu’au printemps 2023 en tant qu’assistante de recherche bénévole. Elle a contribué aux activités de diffusion.

Sarah Cabecinha-Alati

Sarah Cabecinha-Alati a soutenu sa thèse dans le cadre du Counselling Psychology Program de l’Université McGill. Ses recherches portent sur la relation entre l’adversité pendant l’enfance et la régulation des émotions chez les parents. Son objectif principal était de déterminer si les expériences d’adversité vécues par les parents pendant l’enfance (par exemple, l’abus ou la négligence) ont un impact sur leurs compétences en matière de régulation des émotions et, par la suite, sur leurs comportements parentaux liés au processus de socialisation des émotions.

Polly Cheng

Polly Cheng a soutenu avec succès sa thèse intitulée “The Relationship between Child Maltreatment Subtypes and Components of Emotional Competence in Emerging Adults ” le 2 février 2023 dans le cadre du Counselling Psychology Program de l’Université McGill.

Objectifs de recherche : L’objectif de cette thèse est de comprendre les effets différentiels des sous-types de maltraitance dans l’enfance sur les dimensions de régulation émotionnelle et la reconnaissance d’émotions spécifiques. En raison de la cooccurrence des sous-types de maltraitance dans l’enfance, l’effet des différents sous-types de maltraitance peut être surestimé ou mal attribué lorsqu’ils ne sont pas considérés ensemble. L’étude 1 prend en compte la cooccurrence des sous-types de maltraitance afin de mieux comprendre les effets différentiels des sous-types de maltraitance sur les dimensions de la régulation émotionnelle et la reconnaissance d’émotions spécifiques. L’étude 2 vise à évaluer empiriquement la relation entre la régulation émotionnelle et la reconnaissance des émotions en examinant le rôle modérateur de la régulation émotionelle dans la relation entre la maltraitance des enfants et la reconnaissance des émotions.

Résultats clés : L’étude indique que la maltraitance émotionnelle a un effet global sur toutes les dimensions des difficultés de régulation émotionnelle et sur la reconnaissance des émotions à valeur négative (colère, peur et tristesse), tout en contrôlant les autres sous-types de maltraitance. L’étude 2 révèle que la maltraitance des enfants est associée à une moins bonne reconnaissance des émotions à valeur négative, mais uniquement dans le contexte d’une mauvaise régulation émotionnelle ; cependant, des analyses exploratoires examinant les schémas différentiels ont révélé des relations plus nuancées. Ensemble, les résultats des deux études donnent un aperçu de l’impact significatif de la maltraitance émotionnelle sur la régulation et la reconnaissance des émotions et de la façon dont ces modèles changent lorsque la régulation émotionnelle est examinée en tant que modérateur.

Aimée Wallace

Aimée a complété ses études de premier cycle en psychologie à l’Université McGill avec des mineures en sciences du comportement et en éducation. Elle a terminé sa maîtrise en sexologie (profil recherche-intervention) à l’UQAM et est co-supervisée par Dre Langevin. Sa recherche porte sur l’analyse des facteurs de risque et de protection associés à la victimisation par la cyberviolence amoureuse chez les adolescentes. Elle est maintenant intervenante psychosociale à la Fondation Marie-Vincent, un centre multidisciplinaire pour les enfants et les adolescents victimes d’abus sexuels et/ou qui démontrent des comportements sexuels problématiques.

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